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Viennent de publier : Fritz Zorn, Teresa Ciabatti, Sophie Bienvenu, Joachim B. Schmidt – Libération



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Des romans Fritz Zorn, Mars Traduit de l’allemand par Olivier Le Lay. Gallimard, 320 pages, 22 €. Dans les années 1980, bons professeurs littérature recommandaient à leurs élèves lire Mars, Fritz Zorn. Le font-ils encore ? La colère d’un écrivain suisse de 32 ans et sa dépression pourraient faire écho à celles d’un adolescent. Né sur ce qu’on appelle « la rive dorée du lac de Zurich », l’auteur atteint d’un cancer attribue sa maladie son environnement, ses parents, son pays, et lui-même « Aussi, je pense personnellement que le cancer est avant tout une maladie mentale. ” C’est un livre acide, drôle, très intelligent. Il y a là une bonne définition de la névrose « S’il faut donner foi à la définition qu’un névrosé est un être qui ne vit jamais le présent, mais ne peut que se réfugier, toujours, dans l’avenir ou le passé, il est certain que j’ai réuni dès mes premières années d’université toutes les conditions pour satisfaire celle-ci. Fitz Zorn a écrit cette histoire en 1976. Il est décédé quelques semaines plus tard. Le voici retraduit par un excellent traducteur, Olivier Le Lay, et préfacé de manière non moins remarquable par Philippe Lançon, journaliste à Libération. V.B.-L. Teresa Ciabatti, Ressemble à la beauté Traduit de l’italien par Nathalie Bauer. Grasset “En lettres d’ancrage”, 300 pp., 20,90 €. Cela fait un moment que Federica et le narrateur, deux amis d’enfance élevés dans un quartier bourgeois de Rome, ne se sont pas vus. Est tenu pour responsable passage du temps – reflet central roman – si ce n’est la popularité de l’écrivain ou l’acc

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